PaquitoSan Ministre
Nombre de messages : 783 Date d'inscription : 28/11/2005
| Sujet: 1792 Novembre 6 - Jemappes Jeu 12 Oct - 10:49 | |
| Autrichiens Commandant en chef : Prince Albert Casimir v. Sachsen – Field Marshall Teschen
Aile droite – FML Lilien 7 compagnies Grün Laudon - Freikorps O´Donell Freikorps
Brigade Ehrzg. Karl Bataillon de grenadiers Morzin - 1 bataillon Bataillon de grenadiers Barthodeiszky - 1 bataillon
Brigade Obst. K. V. Kaim Régiment d’infanterie Bender - 2 bataillons Régiment de cavalerie Blankenstein (HR) - 3 escadrons
Centre – FZM F. S. Clerfayt Régiment d’infanterie Würzburg - 1 bataillon Régiment de cavalerie lourde Saxe-Cobourg - 4 escadrons
Brigade GM Mikoviny Bataillon de grenadiers Leeuven - 1 bataillon Bataillon de grenadiers Pückler - 1 bataillon
Aile gauche – FML Beaulieu Brigade GM Jordis Régiment d’infanterie Hohenlohe - 1 bataillon Régiment d’infanterie Stuart - 2 bataillons Slavonisch - serbisch. - 5 compagnies Freikorps Mihailovich Régiment de cavalerie Blankenstein (HR) - 1 escadron
Réserve de cavalerie – GM Lamberg Régiment de cavalerie lourde Saxe-Cobourg - 4 escadrons Régiment de Chevau-légers Latour - 2 escadrons
Réserve d'infanterie Régiment d’infanterie Hohenlohe - 1 bataillon Régiment d’infanterie Matheson - 4 compagnies Chasseurs Tyroliens - 5 compagnies Infanterie : 11628 hommes, 2168 cavaliers, 14 pièces de 12, 36 pièces de 6 et 3, 6 obusiers 7 pouces.
Général en chef : Charles François Dumouriez Aile droite - Avantgarde : GL Beurnonville - Maréchal de Corps Dampierre Compagnie des Quatre Nations - 1 compagnie Compagnie des Cambrelots - 1 compagnie 1 Compagnie de franche - 1 compagnie 3 Compagnie de franche - 1 compagnie Légion Belgique - 1 bataillon 19° Régiment de ligne - 1 bataillon Grenadiers - 1 + 6 bataillons 10° + 14° Chasseurs - 2 bataillons Volontaires de Paris - 1 + 2 bataillons 1°, 2° et 6° Hussards - 9 escadrons 3° chasseurs à cheval - 3 escadrons 6° chasseurs à cheval - 3 escadrons 12° chasseurs à cheval - 2 escadrons
Liens des flancs : Général Miaczynski 99° régiment de ligne - 1 bataillon 5° chasseurs - 1 bataillon 5° et 13° dragons - 4 escadrons
Flanqueurs rechts : Général Stengel 11° Chasseurs Garde nationale des Ardennes – 3 bataillons Compagnie des Clémendos - 1 compagnie 3° et 7° regiment de dragons - 2 escadrons 3 obusiers
Linker Flügel - Erstes Treffen : Général Ferrand
1. Brigade général de brigade Drouet 17° Fédérés - 1 bataillon Volontaires de Seine-Inférieure - 5 bataillons Volontaires de Charente - 1 bataillon
2. Brigade général de brigade Desforest Volontaires de l’Aisne - 1 bataillon 1° régiment de ligne - 1 bataillon Volontaires de Ste Marguerite - 1 bataillon
3. Brigade général Ferrand Volontaires de Vendée - 1 bataillon Volontaires de la Meurthe - 1 bataillon Volontaires des Deux-Sèvres - 1 bataillon
5. Brigade Volontaires de Gravilliers - 1 bataillon 29° régiment de ligne - 2 bataillons Volontaires des Cotes-du-Nord - 1 bataillon
7. Brigade Volontaires de Lombards - 1 bataillon 34° régiment de ligne - 2 bataillons Volontaires de la Marne - 2 bataillons
4 Brigade général Ihler Volontaires de l´Yonne - 3 bataillons Volontaires de la Cote-d´Or - 1 bataillon Volontaires de la Vienne - 2 bataillons
6. Brigade Volontaires d´Eure-et- Loir - 1 bataillon 49° régiment de ligne - 1 bataillon 9° régiment de ligne Fédérés - 1 bataillon
8. Brigade Volontaires de la Marne - 3 bataillons 71° régiment de ligne - 1 bataillon Volontaires de St. Denis - 1 bataillon
Zweites Treffen 9. Brigade Gen. Blottefière Volontaires Républicains - 1 bataillon 83° régiment de ligne - 2 bataillons
11 Brigade Volontaires de la Meurthe - 5 bataillons 78° régiment de ligne - 2 bataillons Volontaires de la Meuse - 4 bataillons
13. Brigade Volontaires de Marne - 1 bataillon Volontaires de Mayenne-et-Loire - 1 bataillon Volontaires de l´Eure - 2 bataillons
15. Brigade Volontaires de Seine-et-Oise - 1 bataillon 98° régiment de ligne - 1 bataillon Volontaires de Seine-Infèrieure - 1 bataillon
10. Brigade Gen. Stettenhoffen Volontaires de Butte des Moulins - 1 bataillon 72° régiment de ligne - 2 bataillons
12. Brigade Volontaires du Pas-de-Calais - 1 bataillon 94° régiment de ligne - 1 bataillon Volontaires de Paris - 9 bataillons
14. Brigade Volontaires de la Nièvre - 1 bataillon Volontaires de l´Allier - 1 bataillon Volontaires de Seine-et-Marne - 1 bataillon
16. Brigade Volontaires de Seine-et-Oise - 3 bataillons 104° régiment de ligne - 2 bataillons Grenadiers des Volontaires de Paris - 1 bataillon
Réserve Général de Flers Gendamerie nationale - 2 escadrons Grenadiers - ? Bataillon
Infanterie 40000 hommes, 3000 cavaliers, 100 canons, davon 6 x 16Pfd. 18 x 6 Pfd. und einige schwere Haubitzen.
Dernière édition par le Jeu 12 Oct - 15:44, édité 1 fois | |
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PaquitoSan Ministre
Nombre de messages : 783 Date d'inscription : 28/11/2005
| Sujet: Re: 1792 Novembre 6 - Jemappes Jeu 12 Oct - 10:56 | |
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PaquitoSan Ministre
Nombre de messages : 783 Date d'inscription : 28/11/2005
| Sujet: Re: 1792 Novembre 6 - Jemappes Jeu 25 Sep - 6:11 | |
| source wiki
La bataille de Jemappes (ou Jemmapes) a eu lieu à Jemappes près de Mons en Belgique entre l'Autriche et la France le 6 novembre 1792.
La bataille L'armée révolutionnaire française, constituée de 40 000 volontaires et commandée par Dumouriez remporte la victoire, notamment grâce à son avantage numérique, contre l'armée autrichienne aux Pays-Bas autrichiens sous les ordres du duc Albert de Saxe-Teschen, qui doit évacuer le pays.
La victoire de Jemappes aboutit à la libération ou l'occupation (selon le point de vue) des Pays-Bas autrichiens. Mais ces derniers repasseront sous le contrôle de l'empereur à l'issue de la bataille de Neerwinden (18 mars 1793).
Nommé maréchal de camp par Charles François Dumouriez, le 20 août 1792, le général Ferrand commande l'aile gauche de l'armée. Il contribua au succès de cette bataille par l'intrépidité avec laquelle il emporta à la baïonnette les villages de Carignan (que l'on peut désigner comme la commune actuelle de Quaregnon) et de Jemappes, et par l'habileté qu'il déploya en manœuvrant sur le flanc droit de l'ennemi.
Louis Philippe d'Orléans (1773-1850), duc de Chartres, âgé à l'époque de 19 ans et connu comme le « général Égalité », ainsi que son frère cadet, Antoine d'Orléans (1775-1807), duc de Montpensier, qui venait d'être promu au grade d'adjudant général, y participèrent du côté des révolutionnaires. Se distinguant dans le commandement de son aile droite, Louis-Philippe, futur roi des Français en 1830 sous le nom de Louis-Philippe Ier, devait s'enorgueillir jusqu'à la fin de sa vie d'avoir été l'un des artisans de cette victoire décisive. Mais le spectacle du sang versé et de la tuerie devait aussi lui inspirer une profonde aversion pour la guerre.
En 1795, après le retour des Français et l'annexion de la Rhénanie et des Pays-Bas autrichiens, la bataille donne son nom au département de Jemappes.
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nounours59 Caporal
Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 06/09/2014
| Sujet: Re: 1792 Novembre 6 - Jemappes Mar 30 Sep - 15:18 | |
| Pendant que l’armée française refoulait l’invasion prussienne à Valmy, le duc Albert de Saxe-Teschen, avec 20 000 autrichiens, avait envahi la Flandre et mis le siège devant Lille. - 9 septembre. Mais la résistance héroïque de cette ville et la nouvelle de la retraite des Prussiens le décidèrent à repasser la frontière des Pays-Bas - 8 octobre. Dumouriez, libre de reprendre et d’exécuter lui-même son plan d’invasion dans les Pays-Bas autrichiens, réunit à Valenciennes, une armée de 40 000 hommes. Soutenu à sa droite par Valence, à sa gauche par Labourdonnaye, le 28 octobre, il s’avance de Valenciennes sur Mons par Quarouble et Quiévrain ; le 3 novembre, il chasse les avant-postes autrichiens de Boussu et du bois de Sars, et se trouve le 5 au soir en présence des autrichiens retranchés sur les hauteurs disposées circulairement en avant de Mons. Il déploie son armée dans la plaine qui s’étend des villages de Pâturages et de Frameries à Mons, et se prépare à combattre les autrichiens le lendemain - 6 novembre. Les positions des ennemis, défendues par 13 200 hommes, de nombreuses redoutes armées de batteries disposées par étages, paraissaient imprenables. Clerfayt occupe Jemappes et Cuesmes ; Beaulieu campe au-dessus de Berthaimont ; des chasseurs tyroliens défendent le bois de Flénu, et une cavalerie nombreuse se trouve en réserve dans la trouée qui sépare Jemappes de Cuesme, prête à déboucher sur les français dès que le canon des redoutes les aurait ébranlés. Dumouriez prescrit à d’Harville qui forme notre extrême droite, de se porter sur Berthaimont pour déborder la gauche des autrichiens. Beurnonville à notre droit doit emporter les redoutes de Cuesmes ; Ferrand, à notre gauche se porter sur Jemappes par Quaregnon, pendant que le duc de Chartres, au centre, aborderait le front Jemappes et forcerait la trouée entre ce village et Cuesmes. La canonnade s’engage dès sept heures du matin et dure jusqu’à dix heures. A ce moment, Ferrand, un instant hésitant, mais raffermi par Thouvenot, s’empare de Quaregnon et se lance contre l’extrémité droite de Jemappes. Dumouriez porte alors directement le centre contre Jemappes. Nos soldats reçoivent d’abord sans broncher le feu terrible de l’ennemi et approchent du bois de Flénu, avant-poste de Jemappes et de Cuesmes. Accueillis par la vive fusillade des chasseurs tyroliens, menacées par la cavalerie autrichienne débouchant de la trouée de Cuesmes, il s’arrêtent, reculent et bientôt se débandent. C’est l’instant critique de la bataille. Dumouriez, ses officiers, son domestique Baptiste Renard* s’efforcent de rappeler à la bataille les troupes qui se dispersent. Mais le duc de Chartres est peut-être celui qui montre le plus de présence d’esprit. Il rallie les soldats qui s’écartent sous prétexte de chercher leur bataillon, les forme en une grosse colonne qu’il nomme gaiement le bataillon de Mons, fait battre la charge, et, sous la mitraille, s’élance sur les pentes de Jemappes, entraînant toutes les troupes du centre. Les autrichiens opposent à ce furieux assaut une résistance obstinée jusqu’au moment où ils voient apparaître sur leurs derrières les colonnes de Ferrand et de Thouvenot qui venaient de s’emparer de Jemappes. Clerfayt, menacé d’être pris entre deux feux, se retire sur Mons. Pendant ce temps, notre droite sous Beurnonville, avait eu un moment de défaillance ; mais bientôt, reformée par Dumouriez, elle s’empare de Cuesmes et Beaulieu se décide aussi à la retraite, qui aurait pu être désastreuse si d’Harville avait occupé les hauteurs de Nimy. L’effet moral de cette journée fut immense des deux côtés. La canonnade de Valmy avait donné confiance aux français, la bataille de Jemappes leur donna l’élan. | |
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| Sujet: Re: 1792 Novembre 6 - Jemappes | |
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