Ordres de Batailles
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Ordres de Batailles

Les ordres de batailles des guerres de la révolution et napoleoniennes
 
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 buenos aires, argentine 1806-7

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franckT
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franckT


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MessageSujet: buenos aires, argentine 1806-7   buenos aires, argentine 1806-7 EmptyLun 25 Fév - 8:09

La prise de Buenos Aires

Le 14 avril 1806, la flotte britannique entama la traversée de l'Atlantique, en direction du Río de la Plata. Baird nomma général le colonel William Carr Beresford pour qu'il dirige l'attaque contre Buenos Aires. A Sainte Hélène, Popham obtint du gouverneur le renfort de 280 soldats pour sa mission, et envoya une lettre à Londres, faisant connaître les motifs pour lesquels il se dirigeait vers l'Amérique du Sud et basa ses arguments sur le mémorandum Miranda-Popham de 1804 (voir plus haut). Popham ne savait pas que Pitt était mort récemment et qu'à sa place se trouvait depuis février William Wyndham Grenville, du parti opposé Whig.

La flotte arriva en vue de Montevideo le 8 juin. Le 24 juin Beresford était sur le point de débarquer à Ensenada, réalisant des manœuvres face à Punta Lara et ouvrant le feu contre les fortifications espagnoles.
Manuel Belgrano

Le 25 juin une force de 1.600 hommes sous le commandement de Beresford débarqua sur les rivages de Quilmes. Parmi eux le Régiment écossais 71, l'un des meilleurs de l'armée britannique. Elle avança pratiquement sans opposition vers le río Riachuelo tout près de la capitale. Le 27 juin les autorités vice-royales acceptèrent l'ultimatum de Beresford et livrèrent Buenos Aires aux envahisseurs. Le soir même les troupes britanniques défilèrent sur la Plaza Mayor (l'actuelle Plaza de Mayo) et hissèrent les couleurs du Royaume-Uni. Elles flottèrent pendant 46 jours.

Manuel Belgrano, secrétaire du Consulado de Buenos Aires et Capitán Honorario de Milicias Urbanas préféra se retirer "quasi fugitif", selon ses propres mots, dans la bande Orientale du Río de la Plata. Les autres membres du Consulado jurèrent obéissance à la domination britannique.

Le vice-roi Rafael de Sobremonte abandonna sa capitale et s'enfuit en province de Córdoba, muni du précieux argent de Potosí, de son or personnel et de 1.200 hommes. Beresford exigea la livraison du trésor de l'état et avertit les commerçants de la ville que, dans le cas contraire, ils payeraient eux-mêmes la somme, de leurs propres deniers. Ceux-ci n'en doutèrent pas un instant et se mirent à la poursuite du malheureux vice-roi qui fut intercepté dans sa fuite aux environs de la ville de Luján, et l'obligèrent à livrer le trésor qui fut remis aux Britanniques. Le 14 juillet Sobremonte fit une déclaration à Córdoba, la capitale provisoire de la vice-royauté. Il pria instamment de désobéir à tous les ordres provenant de Buenos Aires, tant que durerait l'occupation.

La reconquête de Buenos Aires

Les porteños (habitants de Buenos Aires) étaient en général mécontents de la métropole, et de ce fait, en un premier temps, les britanniques furent reçus cordialement. Cependant les groupes partisans de l'indépendance eurent vite fait de découvrir la menace de la soi-disant aide britannique à l' émancipation. L'occupation était l'excuse parfaite pour établir la domination que le Royaume-Uni briguait sur la région. Une des premières mesures que prit Beresford fut de décréter la liberté de commerce et la réduction des droits. Suite aux soupçons de ce que les occupants essayaient de convertir la Plata en une colonie britannique, ils s'unirent aux groupes royalistes pro-espagnols (appelés realistas) qui préparaient une rébellion.
Reconstruction du Cabildo (1940), qui domine la Plaza de Mayo comme le faisait l'édifice original, qui comptait six arcades latérales supplémentaires.

Devant l'immobilité des autorités vice-royales, les habitants de la ville, créoles et espagnols ensemble, commencèrent à s'armer pour se défendre de leurs propres mains. Différents groupes clandestins s'organisèrent, qui projetaient d'attaquer le fort, résidence temporaire de Beresford, avec des explosifs bricolés. Ces mouvements (dont ceux des Patricios, Arribeños, Blandengues, Húsares, Montañeses, Patriotas de la Unión, Migueletes, Granaderos Provinciales, Pardos et Morenos) eurent l'appui des magnats monopolistes (c’est-à-dire ceux qui bénéficiaient du monopole commercial de la capitale), et parmi eux Martín de Álzaga. Ces gros commerçants subissaient de sérieux préjudices du fait du libre commerce décrété par le représentant de George III (et qui fut approuvé par ce souverain alors même que les Britanniques ne gouvernaient déjà plus sur le Río de la Plata). Mais avant que les rebelles porteños ne puissent mener leur plan à bien, Liniers et sa troupe arrivèrent à Buenos Aires.

Pendant ce temps, les caciques indiens des peuples Pampa et Tehuelche se présentèrent à Córdoba devant le vice-roi Rafael de Sobremonte pour offrir jusqu'à 20 000 hommes pour la reconquête de la capitale. Et bien que leur offre ait été refusée, la collaboration des Indiens permit d'utiliser les corps frontaliers pour la contre-attaque.
Juan Martín de Pueyrredón, également d'origine française, commandant du premier escadron de Hussards, qui sera désigné plus tard Directeur suprême des Provinces-Unies du Río de la Plata

Liniers abandonna sa position à Ensenada et traversa le Río de la Plata pour organiser les troupes en vue de la reconquête. Depuis Montevideo, et avec l'aide de Ruiz Huidobro, gouverneur de la rive orientale, le Français organisa une armée qui partit vers Buenos Aires pour reprendre la capitale. Avançant depuis la ville de Tigre au bord du Paraná, des milliers d'hommes enthousiastes se joignirent à cette armée.

Le 1er août, un groupe de combattants cachés par Álzaga dans une propriété des environs du centre urbain, et dirigé par le créole d'ascendance française Juan Martín de Pueyrredón, fut mis en déroute par une force britannique de 550 hommes.

Le 12 août, Liniers avança sur la ville déchaînant une bataille rangée en différentes rues de Buenos Aires, jusqu'à encercler les britanniques dans le fort de la ville. Le 20 août, Beresford signa la capitulation, où l'échange mutuel de prisonniers entre les deux camps était prévu. Mais craignant une seconde attaque, le Cabildo (conseil communal) fit pression pour que les prisonniers britanniques soient envoyés à l'intérieur du pays, annulant ainsi les termes de la reddition.

Une fois la cité reprise, l'Audience royale de Buenos Aires assuma le gouvernement civil et décida de donner la Capitainerie générale à Liniers. De plus la couronne espagnole ajouta le titre de "La muy fiel y reconquistadora" (la plus fidèle et reconquérante) à la ville de Montevideo et dans son blason on ajouta des drapeaux britanniques chutés et étendus, indiquant ainsi la déroute des Britanniques face à Montevideo.

Au total le plan de Francisco de Miranda s'était avéré inconsistant et ses affirmations comme quoi les Britanniques seraient reçus à bras ouvert par les populations sud-américaines étaient totalement erronées, comme c'est généralement le cas pour les fables racontées par les émigrés politiques, qui en arrivent souvent à prendre leurs rêves pour des réalités. Et le mémorandum "Miranda-Popham" fut prestement oublié.

Popham, responsable du désastre par sa désobéissance motivée par la cupidité, fut jugé par une cour martiale britannique pour avoir abandonné sa mission au Cap de Bonne Espérance. Cependant la ville de Londres lui octroya bientôt une épée d'honneur pour ses efforts en vue d' "ouvrir de nouveaux marchés", et ainsi la sentence n'arriva jamais à l'affecter.
Les milices urbaines

Après la capitulation de Beresford et face à la possibilité d'une nouvelle invasion, Liniers émit une première proclamation, sur la création de divers corps urbains, et un second ordre, convoquant les milices urbaines, demandant instamment au peuple de s'organiser en corps séparés selon leur origine. Pratiquement chaque citoyen devint un milicien. Ces nouvelles milices s'organisèrent en différents corps et régiments. Le Commandant Général des Armes réussit à regrouper ainsi une importante force populaire, à laquelle s'ajoutaient les troupes vice-royales, moins nombreuses, le tout formant une armée d'infanterie, de cavalerie et d'artillerie.
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MessageSujet: Re: buenos aires, argentine 1806-7   buenos aires, argentine 1806-7 EmptyLun 25 Fév - 8:13

Seconde invasion britannique de Buenos Aires

Pendant ce temps là, à Buenos Aires, la nouvelle de la prise de Montevideo par les troupes britanniques nombreuses et disciplinées était arrivée le 5 février 1807. Connaissant le comportement du vice-roi Sobremonte, les protestations publiques s'élevèrent vivement, ainsi que des graffitis à l'encontre du représentant de la Couronne espagnole. Et la fuite du vice-roi à la mi-janvier, aux abords de Montevideo, face à Auchmuty, ne fit qu'aggraver les choses. Le 10 février, le Cabildo de la ville réuni en Junta de Guerra (junte de guerre) fit pression sur la Real Audiencia, tribunal suprême de la vice-royauté et décréta, fait sans précédent, la destitution de Sobremonte, sa détention, et la désignation de Jacques de Liniers à sa place. Les autorités espagnoles comprirent que ce qui se passait à Buenos Aires pouvait servir d'exemple pour toutes les vice-royautés espagnoles d'Amérique. Pour éviter que se propage le fait que par la volonté du peuple on avait destitué un vice-roi, l'Audiencia garda prudemment les faits à l'intérieur du domaine juridique colonial, communiquant que Sobremonte avait renoncé à sa charge pour des raisons de santé.

En même temps, la Junte ordonna l'envoi de Beresford (prisonnier à Luján) à Catamarca, vu que ce dernier gardait des contacts avec des groupes créoles indépendantistes restés malgré tout pro-britannique. Mais les officiers qui escortaient Beresford furent interceptés dans les environs d'Arrecifes par un groupe de ces créoles, entre autres Saturnino Rodriguez Peña et Manuel Aniceto Padilla. Les créoles cachèrent le général britannique jusqu'à ce qu'il fut clandestinement embarqué dans le port de Buenos Aires sur le navire HMS Charwell, envoyé depuis Montevideo pour transmettre des messages aux autorités de la ville et de la vice-royauté. L'objectif de cette mission était de négocier la reddition de Buenos Aires pour éviter une bataille sanglante. Mais aucun accord ne fut bien sûr conclu. Beresford se retrouva libre à Montevideo, et faute d'accord de reddition, refusa l'offre de commander l'expédition de prise de la capitale. Il s'embarqua donc vers Londres. Cette année même, il occupa l'île de Madère et devint son gouverneur. Plus tard, il jouera un rôle important dans la Guerre d'indépendance espagnole.

Dans les premiers jours du mois de mars 1807, le HMS Thisbe partit de Grande-Bretagne vers Montevideo avec à son bord le lieutenant général John Whitelocke, nommé commandant des forces britanniques dans le Río de la Plata, avec l'ordre du gouvernement britannique (dirigé par William Wyndham Grenville, puis dès le 30 mars par le duc de Portland) de prendre Buenos Aires. Whitelocke arriva à Montevideo le 10 mai et prit le commandement général. Peu de temps après, la flotte sous le commandement du général Robert Craufurd arriva depuis la ville du Cap avec 5 000 hommes. Le 17 juin l'armée de Whitelocke, immense pour l'époque, composée de quelque 11 000 hommes, partit en direction de Colonia. Le 28 juin, les Britanniques débarquèrent à Ensenada (près de la ville actuelle de La Plata) et, après avoir écrasé une petite force locale très inférieure en nombre, commencèrent le siège de la capitale le 4 juillet. Pendant ce temps, la décision de la cour espagnole déclarant Ruiz Huidobro vice-roi par intérim était parvenue dans la vice-royauté. Mais le dit gouverneur de Montevideo, prisonnier des Britanniques, avait été embarqué pour Londres après la chute de Montevideo. De ce fait, Liniers, étant le militaire de plus haut rang présent sur place fut nommé vice-roi de la Plata par l'Audiencia.

L'armée britannique franchit avec difficultés les 50 kilomètres qui séparaient le lieu de débarquement et la capitale. L'armée du tout nouveau vice-roi intercepta l'avant-garde de l'ennemi près de Miserere, mais le groupe aux ordres de Craufurd réussit à diviser et à faire reculer les hommes de Liniers. À la tombée de la nuit, le combat cessa et beaucoup de miliciens purent rentrer chez eux.

De son côté, le maire (alcalde) de Buenos Aires, Martín de Álzaga ordonna de dresser des barricades, de creuser des trappes et des tranchées dans les différentes rues de la ville par lesquelles l'ennemi pourrait pénétrer. Le matin du 5 juillet, la totalité de l'armée britannique se regroupa à Miserere. Confiant dans la supériorité de son armée, Whitelocke donna l'ordre de pénétrer dans la cité en 12 colonnes qui se dirigeraient séparément vers le fort de la ville et vers Retiro par des rues différentes. Mais les envahisseurs s'affrontaient à un Buenos Aires très différent de celui auquel Beresford s'était heurté. Selon la tradition populaire, les habitants lançaient force pierres et versaient quantité d'huile et d'eau bouillante sur les têtes des envahisseurs. De plus Liniers avait réussi à réunir une armée de 9 000 miliciens, postés en différents points de la ville. L'avance des colonnes se vit sévèrement entravée par les défenses telles les barricades dressées et les tranchées creusées, par le feu permanent depuis l'intérieur des maisons, la désinformation organisée parmi les officiers britanniques. John Whitelocke vit combien ses hommes étaient attaqués avec violence à chaque coin de rue. Grâce à la guérilla urbaine, les habitants de Buenos Aires surpassèrent la discipline des troupes britanniques. Après une lutte sanglante, Whitelocke avait perdu plus de la moitié de ses hommes, tués, blessés et prisonniers.
Epilogue

Le 6 juillet à la mi-journée, dès lors que la plupart des colonnes britanniques étaient écrasées et que les troupes britanniques se trouvaient encerclées, Liniers demanda la reddition. Craufurd, retranché dans l'église de Santo Domingo, rejeta l'offre et la lutte continua jusqu'après trois heures de l'après-midi. Whitelocke reçut les conditions de la capitulation vers dix-huit heures le même jour. Le 7 juillet on communiqua l'acceptation de la capitulation proposée par Liniers et qu'à la demande du maire Álzaga, il était donné deux mois aux Britanniques pour abandonner Montevideo. Les troupes britanniques se retirèrent définitivement de Buenos Aires et abandonnèrent la bande Orientale (Uruguay actuel) dès le 9 septembre.

Napoléon Bonaparte disait qu' un grand désastre désigne toujours un grand coupable. De retour au Royaume-Uni, une cour martiale reconnut Whitelocke coupable de toutes les charges sauf une, et fut démis de ses fonctions. Il fut déclaré incapable de servir la Couronne britannique. Un des facteurs déterminants pour cette décision, fut le fait que le malheureux général avait accepté la dévolution de Montevideo dans les termes de la reddition. La simple justice nous oblige à dire que Whitelocke n'avait fait qu'obéir aux ordres, que suite à la défaite sanglante de Buenos Aires, Montevideo était condamnée et qu'il importait de préserver la vie de ses soldats, et qu'enfin les seuls responsables du désastre se trouvaient à Londres au sein des politiciens qui l'avaient envoyé au bout du monde pour une impossible mission.

À ce jour, les corps des soldats tombés durant les invasions britanniques de Buenos Aires n'ont pas encore été retrouvés3.
Conséquences des invasions britanniques

L'Empire espagnol conserva la possession de la Vice-royauté du Río de la Plata grâce à l'action de groupes de milices volontaires urbaines. La volonté du peuple joua un rôle sans précédent dans la destitution d'un vice-roi et dans la nomination de son successeur. La résistance du peuple et sa participation active dans la défense et la reconquête de la capitale, avec la mise en évidence de l'incapacité de la métropole de défendre ses colonies, transforma ces évènements en prélude à l'indépendance des territoires sud-américains sous domination espagnole.

Pour être juste, il faut essayer de comprendre la position du vice-roi Rafael de Sobremonte, dont le souvenir est resté d'un fonctionnaire inepte et couard. Le vice-roi était au courant de l'existence de groupes indépendantistes à Buenos Aires. Il était aussi conscient de la vulnérabilité du Río de la Plata, car en de nombreuses occasions il avait sollicité des renforts de l'Espagne. D'un autre côté, il comprenait qu'armer le peuple pour la défense impliquait la livraison du pouvoir aux créoles4. La fuite à la ville argentine de Córdoba avec le trésor, peut être considérée comme une stratégie appropriée, vu que c'était bien ce trésor que Popham était venu chercher. Mais à cause de la pression des représentants du Cabildo, en leur majorité riches commerçants, Sobremonte se vit forcé de livrer les fonds publics à Beresford5. De retour en Espagne, le marquis comparut devant une cour martiale tenue à Cadix en 1813 qui l'innocenta de toutes les charges retenues contre lui. En outre, il reçut le paiement de ses soldes en retard et fut promu maréchal et nommé conseiller des Indes6.

Quant au Royaume-Uni, guérie de ses ambitions coloniales sud-américaines, malgré le lourd échec militaire de l'invasion, elle atteignit progressivement, au fil du temps, un des objectifs principaux de ces expéditions : l'influence commerciale sur la région.

Bibliographie et références en ligne

Carlos Roberts (2000). Les invasions anglaises du Río de la Plata (1806-1807) et l'influence anglaise dans l'indépendance et l'organisation des provinces du Río de la Plata. Emecé. ISBN 950-04-2021-X
Klaus Gallo (2004). Las Invasiones Inglesas. Eudeba. ISBN 950-23-1317-8
Graham-Yooll, Andrew (2006). Occupation et reconquête 1806-1807: à 200 ans des Invasions anglaises. Lumiere. ISBN 950-9603-99-6
Felipe Pigna (2004). Les mythes de l'histoire argentine. La construction d'un passé comme justification du présent. Grupo Editorial Norma. ISBN 987-545-149-5
Horowicz, Alejandro (2004). Le pays qui éclata. Antécédents pour une histoire argentine (1806 - 1820). Tomo I, Editorial Sudamericana. ISBN 950-07-2561-4
Première Invasion anglaise (1806)
La reconquête de Buenos Aires
Seconde Invasion anglaise (1807)
Manuel d'Histoire argentine de l'Etat argentin
Histoire du fort d'Ensenada
Histoire militaire argentine, Revista del Suboficial del Estado Mayor General del Ejército Argentino.
Manuel Belgrano, Autobiographie (1770-1820)
Rafael Schiaffino (1952). Histoire de la Médecine en Uruguay, Tomo III (1800 – 1828)
Chronologie historique de l'Île uruguayenne de Gorriti

Liens externes

Histoire générale des relations extérieures argentines
Uniformes des Régiments et Milices de Buenos Aires
L'invasion britannique 'oubliée' de l'Argentine (Britain's 'forgotten' invasion of Argentina), BBC News, 10 août 2006
Compagnie des Grenadiers de Montagne ou Cantabriens de 1807

Références

↑ Carlos Roberts, p.44
↑ Klaus Gallo, p.18
↑ *Emilse y Marta Echeverría. 2006. ¿Dónde descansan los muertos británicos? ( Où reposent les morts britanniques ? ) Invasiones Inglesas 1806-1807. Macchi Ed., 412 pp.
↑ Carlos Roberts, p.101
↑ Carlos Roberts p.153
↑ Felipe Pigna, p.188

Note

Cet article est en grande partie issu d’une traduction de l’article en espagnol : « Invasiones_inglesas ».
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